Preview : Shadow of the Beast
Pas si éloignées du speed dating, les présentations de line up s’apparentent bien souvent à des rendez-vous expéditifs, quelques minutes de prise en main à peine, et pas de quoi se forger un début d’opinion. Au milieu d’autres titres comme Kill Strain, Drawn to Death ou Kick Off, Shadow of the Beast attirait moins l’attention, malgré la présence d’un Matt Birch particulièrement enthousiaste. Le développeur britannique est pour résumer un véritable fan du jeu d’origine, à tel point qu’il a pris le temps de récupérer les droits du jeu et de la bande originale, qu’on retrouvera sous forme de bonus à débloquer. Il sera donc possible de rejouer au jeu d’origine, de visionner une partie complète ou même d’activer les vies infinies pour voir la fin d’un jeu impitoyable qui ne dure pas plus de vingt minutes au final. Cerise sur le gâteau, la bande originale signée David Whittaker est disponible à l’écoute dans ces bonus, voire même à la place de la composition de 2016 pourtant très fidèle à l’esprit d’origine. En quelques minutes, le développeur avait fait la démonstration d’une attitude rassurante, la distance prise avec le jeu d’origine étant souvent la raison de l’échec de cet exercice de revival.Le premier teaser du jeu dévoilé en 2013 avait été diffusé alors que le jeu n’en était qu’à un stade de prototype. Ironiquement, cela a accéléré la mise en production du titre qui devrait sortir en mai prochain. Shadow of the Beast nouvelle version se présente sous la forme d’un beat’em all vu de côté, où le joueur incarne Aarbron, un enfant kidnappé à la naissance et transformé en monstre par le seigneur démoniaque Maletoth. Le premier niveau sert donc d’introduction où notre héros est tenu en laisse par un magicien qui l’ordonne de massacrer des dizaines d’humains sur son passage. Il se libérera finalement du sorcier et le poursuivra dans un immense arbre qui rappellera instantanément l’esthétique du jeu d’origine, avec deux immenses mains qui en gardent l’accès. TRAILER PARIS GAMES WEEK 2015 SHADOW OF THE BEAST Le coeur du jeu tourne autour de phases de combats, de plates-formes et de puzzle, le tout à travers une dizaine de niveaux visuellement très réussis. Beaucoup de jeux d’ombres et de lumières rappellent forcément le jeu d’origine mais aussi l’Exode d’Abe par exemple ; qu’il s’agisse du design des ennemis ou des décors, le respect de l’ambiance d’origine est indéniable. Le système de combat apparaît tout d’abord comme très basique, chaque affrontement se déroulant dans une arène confinée. Les ennemis arrivent de part et d’autres du personnage, qui devra donc déchiqueter ses adversaires en rythme - une touche pour attaquer, une pour étourdir et une dernière pour lancer l’ennemi sur ses camarades. Après quelques meurtres, une barre de rage se remplit et un QTE de plus en plus difficile permet d’enchaîner les ennemis facilement.Au niveau de difficulté de base, le jeu est terriblement simple et manque finalement de pêche malgré un très gros travail sur les impacts et la bande son. Il est donc temps de passer au niveau de challenge supérieur et d’écouter les conseils de Matt qui nous explique les ficelles du système de combo et de scoring. A chaque début de combat, le nombre d’ennemis restants apparaît ; selon les performances du joueur il est possible d’obtenir des médailles de plus en plus difficiles à débloquer. C’est la révélation : le fait d’étourdir les adversaires augmente plus vite le compteur de combo, tandis que l’utilisation de la rage aide le joueur mais remet le compteur à zéro. Très vite il devient donc inutile d’utiliser cette fonction pensée pour le grand public et commencer à s’attaquer au leaderboard où sont affichés les scores des confrères britanniques. Le mélange de jeu de rythme, où il faut réussir à ne pas laisser trop de temps s’écouler entre deux ennemis, auquel viennent s’ajouter quelques subtilités comme un contre en appuyant dans la bonne direction au dernier moment rendent le tout terriblement addictif. Chaque ennemi doit être abordé d’une manière unique, qu’on peut identifier à l’aide d’un code couleur très simple. A la manière d’un Batman, le jeu bascule alors d’une simple bagarre de rue à une véritable démonstration de style, le tout ponctué de gerbes de sang à chaque ennemi découpé.Le développeur dit apprécier énormément l’arcade à l’ancienne, et souhaitait donc proposer plusieurs niveaux de difficulté ainsi qu’une durée de vie conséquente. Cela ne parlera pas à tout le monde, mais nous avons été très agréablement surpris par l’impact des coups et le rythme de plus en plus effréné des affrontements. En obtenant des médailles d’or sur certains combats clés, on débloque également d’autres assauts cachés pensés spécialement pour mettre à mal les joueurs experts. Un autre niveau se déroulait cette fois-ci dans un immense désert, à l’image de ce qu’on découvrait dans le teaser de 2013. La plate-forme rappelle alors un peu le Strider de 2014 avec énormément de passages secrets et quelques puzzles basés sur le temps. La fidélité à la direction artistique de l’époque impressionne là encore, surtout que les développeurs sont allés jusqu’à retrouver des concepts arts d’ennemis jamais utilisés pour les modéliser dans le jeu de 2016. Ces trente minutes se sont déroulées bien trop vite à notre goût, mais c’est aussi le signe qu’elles étaient largement suffisantes pour convaincre d’attendre Shadow of the Beast de pied ferme....
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