gears of war
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Ah... Gears of War. De la testostérone, des blagues beaufs en veux-tu en voilà , du sang qui éclabousse l’écran par hectolitres, et un plaisir inexplicable qui consiste basiquement à péter du locuste derrière un muret sans jamais s’arrêter. Ce sont les souvenirs que j’ai gardés de la trilogie initiale, et ces derniers se sont peu à peu mués en déception avec l’opus Judgement et Gears of War 4, que je n’ai même pas eu la force de terminer. Qu’à cela ne tienne, j’ai eu envie de donner une chance à ce Gears 5, et gran. ...